|  Sujet: deux nobles elfes, loin de chez eux [pv: Nymphea] ![deux nobles elfes, loin de chez eux [pv: Nymphea] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/subsilver/icon_minitime.gif) Mer 19 Nov 2014 - 22:02 | | J'était arrivée avec ma soeur au sein de la communauté des éxilés voilà un petit mois. Malheureusement, notre arrivée faisait partie d'un phénoméne qui avait toujours existé, mais qui avait empiré depuis quelques mois: l'immigration. D'un peu partout d'aendrÿl, des gens avait rejoins les éxilés, ce qui avait naturellement provoqué deux problémes, et pas des moindres. Lepremier était les ressource alimentaire. Comme il y avait plus d'éxilés, les rations de nourriture distribué baissait pour nourrir tout le monde. Mais des épices était aussi distribué pour améliorer le goût desaliments. Hors, Les dôses dépices étaient elles aussi diminués. le probléme de vivre était simple à resoudre. En effet, ils suffisait d'accroitre les chasses. Mais le manque d'épices était plus complexe à résoudre. Les épices, extrémement rare dans la terre des ténébres, venait en grandes parties d'aendrÿl. C'était donc une denrée rare qu'on renouvelait difficilement Mais les derniers immigrés avait peut-être apportés la solution. En effet, ils avaient rapportés une rumeur où une riche caravane d'épice passerai à quelques milles des ruines d'aranya dans les 3 semaines. Rumeur vrais ou fausse, nous n'avions pas le choix d'éspérer qu'elle était fondé et un groupe de 5 personnes avait vite été mis sur pied pour y aller .J'avais été choisis pour en faire partie, étant un des meilleurs archers. Prenant mon arc, j'avais été obliger de laisser ma soeur seule au village pour au moins deux mois. Voyant qui avait été désignée pour être chef du groupe, j'avais au moins été rassuré, sachant que mon groupe serais bien dirigé, la personne choisi étant un chef sociable mais ferme. Une fois les biens de valeur à échanger contre les épices prêt, dans une charette, nous nous étions mis en route. Le voyage avait été long, plein de danger, entre quelques démons avides de sang et la nature démoniaque, ils nous fallu une semaine pour atteindre le camp protégeant le portail. Contre un droit de passage, nous acceptions de donner au garde du portail un tier des épices qui allait être obtenu. Le passage par le portail bouclé, nous pouvions de nouveau observer aendrÿl et continuer notre voyage.
Les ruines était en vue. Fatigué et souriant, je regarde le feu allumé pour cuire le viande. Mes compagnons de voyage à mes côtés attendant la cuisson, je discutes avec eux. Je m'entend bien avec mon groupe. Notre "chef", un furry avait même presque oublié sonrôle dechef tant l'entente amicale régnait. Ce groupe, loin d'être diversifié, est composé, en plus de moi, de deux elfes et de deux furry. Alors que les furrys avait été choisis pour leurs dons innés, nous, elfes, avions été désignés pour notre efficacité à l'arc. Soudain, alors qu'on allait retirer la viande du feu, on arrête de parler. Au loin, un son nous parvient, porté par le vent; celui d'un bruit de sabot chargeant une attaque.Les brigants étant nombreux aux alentours, nous nous levons d'un geste et, à vive allure, prenons la direction de la source du bruit pour trouver, la caravane tant éspérer attaqué de toutes parts par des brigants. nos arcs levé, mon groupe et moi, sur ordre de notre chef,commençant un déluge de fléche, abattant plusieurs brigants qui, comprenant qu'on aide la caravane, se séparent en deux groupes, dont un qui nous fonce dessus, pour nous éliminer au plus vite. Sans magie, avec arc et épée, nous ne pouvons que les regarder foncer vers nous, notre déluge de fléche à son apogée pour, par un quelconque miracle, repousser les brigants . |
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