Il y a de ça deux mois que Nué à prit le route de tour du pays, à bord de sa caravane il parcourait les contrées, sur les petits chemins, les grandes route pavées étant beaucoup trop côtoyé pour y espérer rencontré une quelconque espèce. Ainsi il découvrait différentes faunes, en traversant plaines et forêt
Il devait être treize heure ce jour ci, quand il fit ça rencontre, Nué parcourait un petit chemins longeant une immense forêt que l'on appelé "Le Bois vert", laissant la caravane se faire tracter par son ???, tout en étant mi-allongé a l'avant de celle ci un carnet dans une main et un crayon de l'autre, griffonnant sur une page blanche un dessin d'une plante au feuille fripé et à la fleur d'un aspect de coton. Marquant sur la page suivante ses différentes observations sur cette plante sans nom.
Quand soudain la caravane ralentit sa cadence c’était, le buffle, le soleil tapait fort, l'horizon entièrement parcourut de vagues de chaleur la rendant trouble. C'était un jour de canicule.
-Hum... Les récoltes vont être difficile cette année. Je plains ces pauvre cultivateurs.
Se levant du siège de la caravane, descendant de celle ci afin d'aller le poids a tracter du pauvre buffle, se mettant à ses côtes lui caressant le museau et avancent doucement avec jusqu'à trouver un point d'eau ou une zone d'ombre, sur laquelle se reposer un moment.
Ils marchèrent durant un quart d'heure au moins avant d'ouïr le ruissellement d'un cour d'eau, Nué fit alors arrêter la caravane, détachant le buffle du bancard de limonière, le laissant se mettre à l'ombre et s'hydrater au cour d'eau.
Il s'approchait du buffle, afin de lui retirer son harnais, quand il vit soudainement une personne non loin d'eux, allongé dans l'herbe à pleins ventre, c’était un furry, et plus spécifiquement un orque, ses pattes était plongé dans le cour d'eau. Ça devait surement être un voyageur tombé de fatigue faute de l'éprouvante température, la rencontre de furry orque étant plutôt étonnante aussi loin de l'océan.
Nué approcha de l'orque, remarquant au passage sa tenue peu commune, d'un harnachement de cuir, peut-être que celà faisait parti d'un rite ou d'une tradition, se dit-il sur le moment. D'autre en auraient autrement.
-Monsieur??? Vous allez bien???
La réponse se faisant attendre Nué tendit doucement une main, pour le toucher, vers cette personne visiblement inconsciente ou trop épuisé pour daigner répondre...