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Tuer le Père

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MessageSujet: Tuer le Père Tuer le Père Icon_minitimeSam 18 Avr 2015 - 0:28



Tuer le Père

Caacrinolas/Thiriswarth


Pour la première fois en de nombreux printemps, l'elfe de givre commençait à sentir sa peau rougir sous le soleil assommant. Par chance, ses rayons amorçaient peu à peu leur déclin à travers le ciel pur et uniforme, et ne révélaient plus qu'une teinte orangée qui recouvrait toute la surface du monde. Les jours s'allongeaient. Les nuits entraient doucement dans leur hibernation estivale. Pour la soixante-dixième année consécutive aux yeux de Thiriswarth, les saisons demeuraient inchangées et le temps s'écoulait inlassablement de la même fascinante manière.
Cependant, il ne lui était cette fois pas donné d'admirer le crépuscule depuis Trenarn, d'où elle l'avait contemplé pratiquement tous les soirs depuis quarante-neuf ans. Certes, les contrées qui l'environnaient aujourd'hui n'étaient pas bien distante des terres elfiques, mais celles-ci dévoilaient tout de même un tout autre paysage.

A travers la végétation dense et luxuriante de la forêt d'Ainas, la garde avait marché encore et encore, indifférente aux jours que son voyage avait embrassé. Mais après avoir obtenu les informations qu'elle désirait, ou plutôt que le Roi désirait, le temps était venu pour elle de faire escale à la ville la plus proche avant d'entamer, au lendemain matin, son trajet retour. C'est pourquoi la lumière décadente l'avait conduite ici, aux portes de Lavan. La petite capitale furry n'était que faiblement connue de la population d'Aëndryl, mais après maints Conseils Stratégiques passés en compagnie de la cour d'Ellenduil, sa présence s'était enfin révélée à l'elfe. Cette-dernière, au demeurant, était un peu déçue. Non pas de l'issue de sa quête, qui s'était en réalité avérée plus que fructueuse, mais de l'envergure qu'avaient ces murs. Thiriswarth avait beau savoir l'apogée de la race des furries passée depuis bien longtemps, elle ne s'était ici pas attendue à observer plus un amoncellement de bois qu'une véritable capitale signe de ce nom. Mais malgré tout, tout cela, baigné dans les couleurs chatoyantes du soleil qui s'endormait paisiblement, gardait un certain charme qui avait oublié de la laisser indifférente.

L'important, désormais, était de mettre le doigt sur une auberge où faire halte pour la nuit. Mais si l'elfe était parvenue à atteindre la ville sans trop de problème, c'était sans carte qu'elle en arpentait les rues. De quoi lui donner à visiter pour encore un petit moment avant que la fortune ne fasse son travail.

Les ruelles s'enchaînèrent alors, plongées, au fur et à mesure, dans la pénombre qui gagnait la cité et poussait ses habitants à se presser sous leurs toits. Seuls quelques furries nocturnes, ou certains si félins que nyctalopes, ne faisaient que commencer leur journée. Ceux-là, alors, sillonnaient les ruelles boisées en compagnie d'une Thiriswarth si discrète que presque inexistante. L'ordre du jour n'avait en aucun cas nécessité le port de son habituelle armure de garde, et c'était la raison pour laquelle, plus légère que jamais, la jeune elfe s'en était allée dans de simples vêtements de cuir, encapuchonnée sous une interminable cape. A son dos, seuls son arc et son carquois, occasionnellement garni de lembas en plus de flèches pour le périple, demeuraient visibles et à portée de main.
Personne ne pouvait jamais savoir à quelles aventures il allait pouvoir être conduit. C'était une affaire dangereuse que de passer sa porte ; la route emmenait ses voyageurs, et s'ils ne retenaient pas leurs pieds, Lorlina seule savait jusqu'où ils pourraient être emportés. Un fait que Thiriswarth ne connaissait que trop bien.

Quelques pâtés de maisons plus loin, cependant, l'elfe fit halte. S'il lui avait été donné jusqu'ici de les traverser sans encombre, l'obscurité tombait peu à peu, et il était désormais préférable d'éviter toute mauvaise rencontre. Non pas que la jeune femme les eût craintes, bien au contraire, mais par simple souci d'intégrité. Là n'étaient pas les territoires elfiques qu'elle avait pour habitude d'arpenter, et il lui fallait se fondre à la population qui régissait les lieux. Une fois l'auberge atteinte, elle n'aurait plus à se soucier de rien. Mais encore fallait-il parvenir à échapper à l'agitation jusqu'à elle.

Une voix s'éleva alors, et vint étouffer les coassements lointains qui provenaient de la fontaine.
"Sale tricheur, je te ferai trancher la main !"

Dans un semblant de soubresaut, la garde tourna violemment sa tête vers la provenance du son. A en juger par son intensité, celui-ci ne devait se situer qu'à un croisement de rues plus loin tout au plus. C'est donc la direction que prit Thiriswarth.
De pas en pas, c'étaient des bruits de coups qui parvenaient à se rapprocher d'elle. De mauvaise augure pour les instigateurs du conflit, certainement, mais peut-être de meilleure pour elle qui, en quête désespérée d'un toit pour la nuit, avait une chance de se diriger tout droit vers une taverne.

Mais, l'interrompant dans sa course, quelqu'un chuta devant elle. Un furry, plus exactement, visiblement jeté à terre, au milieu de ses trois confrères empestant l'alcool, par un homme qui se distinguait parmi eux. Il ne semblait ni d'ici, ni, en réalité, d'une quelconque terre natale particulière. Et malgré le manque de luminosité se distinguaient tout de même sur lui une masse de cheveux sombre ornée de cornes et une veste en peau pour couvrir son dos. Lui aussi avait donc entendu parler de la petite capitale ; mais malheureusement, ses habitants s'étaient montrés moins cléments à son égard qu'ils ne l'avaient été avec Thiriswarth.
Elle, n'avait pas la moindre idée de la raison qui avait poussé à l'affrontement. Mais une chose était certaine : beaucoup trop s'étaient dressés contre une seule personne.
Ce à quoi elle remédierait.

La garde avait beau n'avoir aucun pouvoir en ces terres, elle resterait tout de même seule maîtresse du jugement qu'elle dispenserait à l'issue du combat. Voleur ou pas, rien ne justifiait l'agitation.

Sans plus attendre, ses mains se saisirent de son arc dont un grand coup suffit à assommer le larron qui, à terre, tentait de se relever. Puis son corps tout entier vrilla, et, pivotant légèrement sur elle-même, l'elfe en vint à encocher une flèche à une vitesse fulgurante. Ceci fait, elle s'arrêta et fixa l'un des assaillants, en joue.

"Personne ne tue personne. A moins que vous ne m'y obligiez."

Thiriswarth adressa un regard à l'homme. Jamais elle ne l'avait vu, mais elle espérait tout de même que son entrée plutôt réussie lui aie donné envie de la considérer comme une alliée, du moins pour le temps que durerait la bagarre, et non comme une ennemie.


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MessageSujet: Re: Tuer le Père Tuer le Père Icon_minitimeLun 20 Avr 2015 - 22:15
Information:

Je venais de quitter le désert des lamentations et me dirigeais vers la cité de Lavan, la capitale des hommes-bêtes, ces hommes ont toujours préféré qu'on les appelles des furries. Mais quelle était la raison à ce que j'aille vers cette citée perdue des hommes ? J'avais retrouvé un ancien ami dans le désert des lamentations et cet homme était un de ces furries, c'était le mélange d'un homme et d'une bête des sables. Ce guerrier, je venais à peine de le rallier à ma cause, ainsi qu'à celle de mon jeune frère Eithel, et avant qu'il s'en aille rejoindre mon frère au Lac, il m'avait dit que je pourrais peut-être trouver des personnes susceptibles de nous rejoindre, c'est ainsi que je me retrouvais dans les contrées oubliées à la recherche de la capitale perdue. C'était au milieu d'une luxuriante forêt que se trouvait la ville capitale de Lavan, d'après les renseignements que m'avait donné Belphas, je ne devais plus en être très loin.

Je finis par arriver dans la capitale par hasard, enfin c'est ce que je pensais mais Belphas m'avais parfaitement guidé, je m'étais juste écarté de la trajectoire dans les bois. Mais bon j'arrivais enfin dans Lavan en milieux de journée, je déambulais calmement dans la ville la comparant dans ma tête avec Lumérill. Ces deux villes étaient totalement différentes mais je préférais cette ancienne cité à la ville moderne qu'est Lumérill. Bref, au bout de plusieurs minutes je me retrouvais dans une taverne, où je dévorais un copieux repas accompagné de plusieurs bières. Une fois finit de manger un groupe de cinq furries me regarda, c'est cinq demi-hommes étaient assis autour d'une table l'un d'eux battait un paquet de cartes, ce dernier me dit simplement :

Hey gringo, ça te dit un petit poker ?

Pourquoi pas ?

Je m'assis à leur table et commençais à jouer avec eux, avec les cartes qui passèrent et l'argent que j'amassais simplement sans avoir besoin de tricher, je remarquais que mes cinq compagnons de jeu étaient tous des félins, un chat noir, une panthère, un lion, un caracal et un tigre blanc. Quelques heures passèrent et je ne perdis que peu de jeu, il me suffisais d'observer le les parties pour savoir quand je pouvais miser gros ou non. Et une fois que mes quatre adversaires furent sur la paille, le lion jeta la table vers mon visage en hurlant :


Sale tricheur, je te ferai trancher la main !

Je balayais la table du revers de la main du revers de la main, mais une fois que je les eus à nouveau dans mon champ de vision le tigre me rua et m'assena un coup de pied, j'eus à peine le temps de parer le coup, mais la force me propulsais dans la rue. Et c'est une fois dans cette rue que le combat commença, mais le chat noir avait disparu. Mais bon ce n'était pas le plus important. A en juger de la situation je n'avais pas besoin de mon arbalète qui resta dans mon dos, mais mes mains allaient les détruire. La panthère mon fonça dessus une dague à la main, elle essayait de me taillader mais j'esquivai avec facilité tous les coups et dès que je vis une ouverture, je déviais son coup et la lança sur le tigre. Pendant ce temps je chargeais brièvement mes gants tout en me lançant à corps perdu sur le roi de la jungle. Il tentait de me donner un grand coup de griffe dans le visage, mais un coup simple à dévier, me créant donc une ouverture dans sa garde je plantais ma main gauche électrisée dans ton abdomen, passant à travers ses muscles pour frapper de plein fouet son foie. Je retirais ma main à la vitesse de la foudre pour lui donner un fulgurant coup de poing aussi électrisé dans sa gorge, ce qui le fit valser. Le temps que je mette ce fauve au tapis en deux coups les deux autres venaient de se relever avec l'aide du caracal.

Les trois m'encerclèrent quand j'entendis un bruit digne d'un coup sec sur un corps, me retournant je vis un corps tournoyé sur lui-même puis nous tenait en joue avec un arc. Une fois que le corps s'était arrêté je vis que ce corps était une femme à l'apparence humaine, mais ses oreilles pointues dissimulé dans ses cheveux aux couleurs de l'argent, j'avais donc affaire à une elfe. Mais était-ce une alliée ou une ennemie j'allais le savoir sous peu je pense. Je l'observais du coin de l'oeil en tentant de regarder mes trois opposant en même temps, je perçus malgré l'obscurité naissante que je n'étais pas sa cible. J'en eus un semblant de confirmation quand elle dit d'une voix claire et sèchement :

Personne ne tue personne. A moins que vous ne m'y obligiez.

Le regard qu'elle me lança ensuite me confirmais qu'elle était une alliée, malgré son désir de ne pas avoir de décès, je ne prendrais pas de gants face à ces trois gaillards, mais bon l'aide de l'archère allait peut-être s'avérer efficace. Je commençais à charger mes gants en lui tournant le dos, afin de faire face à deux des trois ennemis. Je voyais directement le tigre et le caracal, laissant la dernière à l'elfe. Je dis ensuite fortement pour qu'elle m'entende malgré le fait que mon dos lui soit tourné :

Merci de ton aide, je m'occupe des deux là je te laisse l'autre. Fait attention il maque un chat noir.

Bon le tigre ou le caracal ? Lequel allais-je attaqué en premier ? Je venais à peine de me poser la question, que le caracal mon fondit dessus toutes griffes dehors. J'ai juste eu le temps de me tourner et de faire légèrement crépiter mes gants ce qui le perturba. J'en profitais donc pour faire un pas de côté pour éviter la bête. Par instinct mon bras droit se tendit, et empoigna la tête du lynx des sables puis l'enfonça dans le sol fait de pierre. Je venais de le mettre KO sur le coup.


Bon un de moins et toi le tigre, que vas tu faire ? Moi je sais ce que je vais faire !

Je tendis une main et un puissant jet de foudre s'en échappait. Je vis qu'il eut une petite réaction de fuite, mais avec la distance si faible entre nous, l'éclair le frappa de plein fouet. Je vis ensuite son corps fumant, mais encore vivant. Je me retournais ensuite pour voir ce qui se passait du côté de l'elfe .
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MessageSujet: Re: Tuer le Père Tuer le Père Icon_minitimeVen 8 Mai 2015 - 16:09



Tuer le Père

Caacrinolas/Thiriswarth

Si la vermine n'avait pas ricané toutes dents dehors aux propos de l'elfe, il n'y avait aucun doute quant au fait qu'elle en mourrait d'envie. Mais malheureusement pour eux, de tous les adversaires qui auraient pu leur faire face, les furries semblaient s'être étonnamment mal lotis. Le coup qu'avait asséné l'homme à la panthère avait indubitablement été le fruit d'une impulsion électrique, un talent si destructeur que peu développé en Aëndryl, et l'arrivée de Thiriswarth ne leur avait pas été d'une particulièrement bonne augure non plus ; de quoi leur retirer tout désir de fanfaronner.

De son nouvel et sûrement provisoire allié, la garde ne pouvait toujours apercevoir que le veston de peau aux innombrables coutures de fortune. L'homme ne lui offrait à voir que son dos, figé en posture de combat et tant prêt à la défense qu'à l'attaque, mais après quelques secondes étouffées d'une tension palpable, sa voix finit par se laisser entendre.

Merci de ton aide, je m'occupe des deux là je te laisse l'autre. Fait attention il manque un chat noir.

Thiriswarth leva malgré elle les yeux au ciel. Quel grand seigneur. L'elfe seule serait parvenue à faire son affaire des assaillants, au prix peut-être de quelques égratignures, mais rien n'aurait entaché son propre plaisir à combattre. Ne lui laisser qu'un seul opposant par simple zèle ne la convainquait pas d'une quelconque protection, mais davantage d'une privation.
Ici, en des terres bien autres que les siennes, l'elfe n'était plus garde que d'elle-même. Les furries avaient beau être de directs alliés à son peuple, une rixe était une rixe. Et le lion était à elle.

La course qu'engagea le caracal en direction de l'humain sonna le glas pour les humanoïdes. L'opportunité de cesser tout affrontement leur avait été donnée ; ils l'avaient refusée. "Personne ne tue personne" tenait toujours, "pas de blessés" ne tenait plus.
Une seconde suffit alors à l'inconnu pour écraser la tête de son assaillant sur les dalles qui pavaient la capitale, amorçant le véritable début de l'affrontement. Le tigre, prêt à fondre sur lui, avait au demeurant oublié la flèche que pointait vers lui l'elfe depuis son arrivée. Une flèche qu'elle tira alors en pleine direction de son épaule avant de laisser à l'homme à la veste de peau le plaisir d'en finir. Elle, en rattrapant aussitôt une autre depuis son carquois, balança violemment le haut de son corps en arrière jusqu'à esquiver le coup de poignard latéral que lui assénait le lion depuis sa droite. Puis un coup de pied dans l'estomac, donné de toute la force de la garde, suffit à le faire reculer de quelques pas avant qu'elle ne pusse bander son arc à nouveau et relâcher sa flèche dans la jambe de son ennemi, qui vint s'effondrer en arrière.

"C'en est fini de celui-ci aussi."

L'information s'adressait davantage au lion lui-même qu'à son partenaire, mais la forme y était. En quelques pas, Thiriswarth s'était approchée de son opposant jusqu'à se saisir de sa dague, tombée au sol à ses côtés. Non, elle ne l'achèverait pas, et s'opposerait même à son allié s'il tentait de le faire de lui-même. Personne ne tue personne. Faire régner l'ordre était la seule chose primordiale.
Elle l'observa se tordre sous la douleur quelques instants. La blessure était conséquente, mais pas assez profonde pour représenter une réelle menace. Le lever du soleil attirerait les meilleurs apothicaires de la ville qui, habitués aux éternelles rixes de taverne, ne feraient pas très grande affaire de celle-ci. Raison de plus pour la garde de ne pas traîner sur les lieux quand même.

Sans doute l'humain avait-il lui aussi réglé les problèmes auxquels il avait dû faire face. Thiriswarth se retourna vers lui, ne pouvant que constater que lui aussi la fixait, surplombant le corps fumant de son ennemi inconscient à terre. Elle fit tourner la dague du lion dans sa main.

"Plutôt pas mal." Pour deux inconnus. Le moins l'elfe en disait, le mieux elle se portait. Mais un seconde ne s'écoulât pas suite à ses mots qu'une violente sensation de lacération vint frapper son dos. Thiriswarth étouffa un cri, mêlé au sursaut, et d'un geste réflexe pivota vers celui qu'elle présumait être le chat noir manquant pour le fendre d'un coup de poignard transversal en plein dans la poitrine.
Le thorax déchiré, le chat s'écroula et laissa à la garde tout le loisir de réaliser son geste.
Son orgueil, encore une fois, l'avait distraite et conduit à une erreur fatale.

"Plus aucun ne manque, désormais. Je vais m'occuper de lui. Les corps soulèvent des questions et les questions lèvent des armées. Je ne suis pas ici pour déclencher un conflit." La mare de sang qui s'étendait peu à peu devant elle fit écho à ses propres gouttes du sien, qui commençaient petit à petit à ruisseler le long de son dos. L'homme, derrière elle, paraissait absent. "Vous comme moi devrions quitter les lieux avant que les badauds ne commencent à..."

Thiriswarth s'immobilisa.

"... Affluer."

Pauvre idiote.
Elle avait troqué son armure de garde royale contre une tenue de cuir, beaucoup plus modeste. Beaucoup plus fragile. Si les griffes du chat étaient parvenues à atteindre sa chair, c'était parce qu'elles étaient aussi parvenues à lacérer son vêtement.
Exactement à l'endroit où elles n'auraient pas dû.

Dans une inspiration silencieuse, l'elfe resserra sa prise sur son arc et la dague qu'elle tenait de l'autre main, puis tourna lentement son visage vers l'humain qui se tenait en retrait.


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